L’hygiène un grand défi pour l’afrique
La société Africaine a toujours vécu dans un état de délabrement hygiénique pendant longtemps. Elle est confrontée à chaque fois à des maladies qui ont pour la plupart du temps un lien directe avec la salubrité de ses locaux.
Il va s’en dire que l’Afrique a besoin de revoir sa structuration afin d’éradiquer ce phénomène. Dans les zones les plus reculées, il est très souvent de coutume d’entendre dire par certaines couches de la société africaine : « Nous sommes nés trouver que nos grand parents vivaient ainsi, alors nous n’avons rien à y changé. » Dans un endroit où de tels propos sont mis en avant pour justifier l’insalubrité, il s’avère un peu difficile de raisonner la population. Il est clair que de telles attitudes sont à bannir de l’esprit des gens.
Il faut ajouter si nous pouvons le dire ainsi : « le temps dans le quel vivaient nos grand parent est révolu ». Si nous partons sur cette base du temps, dans la période de nos grands parents, il n’y avait pas de très grand mouvement entre les peuples. Pour ajouter à cela, durant les temps anciens, les maladies n’étaient pas à leurs paroxysmes.
Pas plus de quelques années en arrière, on parlait du Sida qui fait des ravages en Afrique, actuellement nous avons le virus Ebola qui s’amène sur la table de la discussion, et toutes ces maladies ravageuses se succèdent sur le sol Africain. Aux côtés de ces maladies citées, il y a celles que l’on appel des maladies tropicales à l’exemple du Paludisme qui assujetti le continent depuis bien longtemps.
A étudier l’évolution de ces maladies, on se rend compte qu’elles ont presque tous un lien avec l’hygiène. Pour éviter le paludisme, il est important d’avoir les alentours de nos concessions propres, dégagés de toute stagnation des flaques d’eau. Ce qui réduit considérablement le nombre des larves des moustiques. Pour ce qui concerne le virus Ebola, avec ce combat sans succès avéré des scientifiques à trouver de quoi combattre le virus, il est une fois de plus recommandé d’appliquer les règles d’hygiènes de base. Telle que le lavage des mains au savon afin de réduire la contagion du virus.
En faisant une petite analyse, force est de constater que d’une manière générale, nos dirigeants doivent établir des règles favorables à la vulgarisation de l’hygiène publique. Ils n’ont pas à attendre des situations d’extrêmes difficultés pour exiger à la population d’appliquer des règles d’hygiène. La population également n’est pas en reste, car l’hygiène doit être un réflexe dans notre environnement à tous.
Sylvain KOUSSE
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